C’est un espace éphémère de partage, qui permet d’échanger sur et autour de la mort. Il se tient dans un bistrot ou un café.
« Dans cette communauté provisoire, on peut tout dire ou ne rien dire ; (…) On n’est obligé à rien et c’est pour cela qu’on peut beaucoup se permettre, y compris d’immenses éclats de rire, comme dans les repas d’enterrement ou les fêtes mortuaires. »
Bernard Crettaz
Qu'est-ce qui s'y passe ?
Parler
Sujet : tout ce qui concerne la mort. Vécu personnel, pas de théorie.
Ecouter
Sans jugement. Avec ouverture d’esprit et bienveillance. Sans commentaire. Pas de conseils.
Pas de visée thérapeutique
Parler fait du bien et est libérateur ; cependant les cafés mortels n’ont pas de visée thérapeutique à proprement parler.
Qui est à l'origine des cafés mortels ?
L’initiant des Cafés Mortels est Bernard Crettaz (1938-2022). Laissons-lui vous expliquer ce que sont les cafés mortels :
Qui sont les initiateurs de ces cafés ?
Nous sommes trois bénévoles d’une institution genevoise d’accompagnement de fin de vie : Nicolas-Olivier, Prosper et Tristan
Nous visons à perpétuer à Genève la démarche lancée par Bernard Crettaz.
Les trois cafés mortels qui viendront ensuite :
11.03.2025 de 19:00 à 20:30
Café à déterminer
8.04.2025 de 19:00 à 20:30
Café à déterminer
13.05.2025 de 18:30 à 20:00
Café à déterminer
Qui seront les animateurs de ces cafés ?
Un ou deux des initiateurs et des animateurs ponctuels supplémentaires : Antonio, Ligue genevoise contre le cancer (LGC) Aurore, Doula de fin de vie, Catherine, palliative Genève Laurence, Ligue genevoise contre le cancer (LGC) Murielle, aide-soignante, accompagnatrice de fin de vie. Natacha, palliative Genève Sonia, Ligue genevoise contre le cancer (LGC)